Imaginez un Jimi Hendrix qui
aurait forniqué avec le Grand Funk Railroad et vous avez
Radio Moscow. Fruit d'un accouplement entre le psyché
et le hard-blues, la musique du combo ricain a tout pour ravir
le nombreux public de la salle wattrelosienne. Stratocaster en
sur-régime, basse ronflante et batterie folle, le tout
est si énergique que même les plus réfractaires
au "guitar-heroes" adhèrent au truc.