Ça faisait longtemps que je n'avais vu Ashtones sur Lille. Ce vendredi soir, c'est réparé avec la soirée qu'ils donnent à la Bulle Café pour la sortie de leur nouvel album "Who are the Leper Messiahs?".

Bon, évidemment, le temps de me garer et j'arrive à la bourre pour la fin du set de The Denyals. Et comme ces indiens n'ont pas daigné accéder à ma requête de recommencer le concert depuis le début, peu de photos des loustics.





  






Avec Lester Greenowski (pas réussi à savoir si c'est le pseudo du chanteur ou le blaze du groupe au complet), on fait dans le glam-punk. Un bon gang de ritals biberonnés à l'école Heartbreakers. Ça riffe dans tous les sens et ça enfile des soli comme une brodeuse enfile les perles.





  









  





A tout saigneur tout honneur. C'est Ashtones qui clôt la soirée. "One, two, three, four !" et c'est parti pour le rollercoaster. Peu de bla-bla entre les morceaux, pas de temps à perdre. A l'arrière, le beat de Ripoll aux fûts et la basse de Fab' déroule une autoroute aux guitares de Félicien et Cram. Le Gé n'a plus qu'à venir greffer son chant dessus. D'anciens en nouveaux morceaux, on fait le tour de la carrière du gang lillois. Dans le public, ça exulte et ça remue comme à la parade.
Fin, du show, les lumières se rallument, en un peu plus d'une heure, la messe était dite.